[ult_ihover thumb_shape= »square » thumb_height_width= »400″ gutter_width= »0″][ult_ihover_item title= »Joannis Rey » thumb_img= »id^212|url^https://fonds-joulie-rey.org/wp-content/uploads/2019/03/pictohomme-e1596812709159.jpg|caption^ |alt^null|title^pictohomme|description^ » hover_effect= »effect19″ block_click= »link » thumbnail_border_styling= »none » spacer_border= »double » title_responsive_font_size= »desktop:22px; » title_responsive_line_height= »desktop:28px; » desc_responsive_font_size= »desktop:12px; » desc_responsive_line_height= »desktop:18px; »]

(1850-1919)

Joannis Rey est né le 15 décembre 1850 à Valence dans une famille catholique. Enfant, il est remarqué par le chanoine Diderot (curé de Notre-Dame) pour ses talents de dessinateur. Il suit l’enseignement de Pierre-Marie Bossan à l’école d’art religieux de Valence, avec son frère Camille.

Il était architecte inspecteur des Monuments historiques de la Drôme et Vice-président de la Société d’Archéologie et de Statistique.

Son cabinet était installé à Valence, 106 rue des Alpes.

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Joannis Rey

[ult_ihover thumb_shape= »square » thumb_height_width= »400″ gutter_width= »10″][ult_ihover_item title= »Henri Joulie » heading_tag= »h1″ thumb_img= »id^9218|url^https://fonds-joulie-rey.org/wp-content/uploads/2020/03/IMG_0871-ok-500.jpg|caption^null|alt^null|title^IMG_0871-ok-500|description^null » hover_effect= »effect19″ block_click= »link » block_link= »url:http%3Aarchival.blog||target:%20_blank| » thumbnail_border_styling= »none » spacer_border= »double » title_responsive_font_size= »desktop:22px; » title_responsive_line_height= »desktop:28px; » desc_responsive_font_size= »desktop:12px; » desc_responsive_line_height= »desktop:18px; »]

(1877 – 1969)

Henri Joulie est né à Valence le 29 mai 1877, fils d’Emile Louis Joulie, représentant de commerce pour les machines agricoles. Après son passage à l’École des Beaux-Arts de Paris, il devient élève à l’atelier de Jean-Louis Pascal. 8ème logiste au concours de Rome en 1903 et 2ème second Prix de Rome. Il reçoit de nombreuses médailles. Il expose au salon des artistes français à Paris en 1907. De retour dans sa ville natale, il ouvre son cabinet d’architecte dans cette ville. Il devient architecte des Monuments historiques de la Drôme (1951), conservateur des antiquités et objets d’art, chef d’agence des Bâtiments de France, président du Conseil régional de l’Ordre des architectes en 1942, membre de la société des artistes français en 1913, officier d’Académie, officier de l’Instruction publique…

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Henri Joulie

[ult_ihover thumb_shape= »square » thumb_height_width= »400″ gutter_width= »10″][ult_ihover_item title= »Jean Pierre Joulie » thumb_img= »id^9868|url^https://fonds-joulie-rey.org/wp-content/uploads/2020/09/Photo-JPJ-500-1.jpg|caption^null|alt^null|title^Photo-JPJ-500|description^null » hover_effect= »effect19″ block_click= »link » thumbnail_border_styling= »none » spacer_border= »double » title_responsive_font_size= »desktop:22px; » title_responsive_line_height= »desktop:28px; » desc_responsive_font_size= »desktop:12px; » desc_responsive_line_height= »desktop:18px; »]

(1910-1989)

Jean-Pierre Henri Émile est né à Paris le 23 février 1910. Fils d’Henri Joulie, architecte, il est scolarisé à l’École des Beaux-arts de 1931 à 1940. Il sera élève à l’atelier de Georges Gromort (Gromort à Lyon) et à l’atelier de Paul Bigot. Il est diplômé le 19 novembre 1940 (école régionale de Lyon). Il s’installe comme architecte à Valence de 1949 à 1967, architecte des Monuments historiques en 1949, architecte des Bâtiments de France en 1967. Il va collaborer avec son père sur plusieurs projets, dont l’église Saint-James, à Montélimar à partir de 1938.

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Jean Pierre Joulie

[ult_ihover thumb_shape= »square » thumb_height_width= »400″ gutter_width= »10″][ult_ihover_item title= »Michel Joulie » thumb_img= »id^9869|url^https://fonds-joulie-rey.org/wp-content/uploads/2020/09/Michel-Joulie-1.jpg|caption^null|alt^null|title^Michel-Joulie|description^null » hover_effect= »effect19″ block_click= »link » thumbnail_border_styling= »none » spacer_border= »double » title_responsive_font_size= »desktop:22px; » title_responsive_line_height= »desktop:28px; » desc_responsive_font_size= »desktop:12px; » desc_responsive_line_height= »desktop:18px; »]

(1915-2014)

Michel Joulie est né le 12 février 1915 à Chabeuil. Fils d’Henri Joulie, architecte, il est lui aussi scolarisé à l’École des Beaux-arts de 1936 à 1946. Il devient élève à l’atelier de Paul Bigot, puis l’atelier d’Auguste Perret et enfin à l’atelier André Remondet. Il est admis au concours de Rome le 2 mars 1938 et obtient son diplôme le 14 juin 1946. Il s‘installe comme architecte à Valence entre 1949 et 1967, et s’associe à son père Henri Joulie en 1949.

Il participe à un projet d’urbanisme parisien aux côtés d’Henry Bernard, Jacques Lhuillier et R. Laguilhomie en 1942, travaille sur le projet des usines Jourdan à Romans en 1957

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Michel Joulie

Lauréat du Grand Prix de Rome en 1850. Il monte à Paris travailler dans l’atelier de l’architecte Henri Labrouste, puis revient dans sa ville natale Lyon où il est choisi comme architecte diocésain par le nouvel archevêque, le cardinal de Bonald. Il va dessiner les plans de plusieurs églises dont les travaux d’édification seront confiés à des collaborateurs. Bossan installe en 1863 une école d’art religieux à Valence, avant d’en donner la direction à son disciple Joannis Rey. Il réalise de nombreux édifices religieux dans la région lyonnaise, dans la Drôme et en Ardèche. Il est l’architecte de la basilique de Fourvière dans le Rhône, la basilique de Lalouvesc en Ardèche…

La partie restauration tient une place réduite dans son activité d’architecte, il préfère la création et laisse d’ailleurs les interventions dans la Drôme à son suiveur Joannis Rey.

Lauréat du Grand Prix de Rome en 1850. Il monte à Paris travailler dans l’atelier de l’architecte Henri Labrouste, puis revient dans sa ville natale Lyon où il est choisi comme architecte diocésain par le nouvel archevêque, le cardinal de Bonald. Il va dessiner les plans de plusieurs églises dont les travaux d’édification seront confiés à des collaborateurs. Bossan installe en 1863 une école d’art religieux à Valence, avant d’en donner la direction à son disciple Joannis Rey. Il réalise de nombreux édifices religieux dans la région lyonnaise, dans la Drôme et en Ardèche. Il est l’architecte de la basilique de Fourvière dans le Rhône, la basilique de Lalouvesc en Ardèche…

La partie restauration tient une place réduite dans son activité d’architecte, il préfère la création et laisse d’ailleurs les interventions dans la Drôme à son suiveur Joannis Rey.

Né à Bourg-les-Valence le 16 octobre 1869, Georges Séverin Venance Allingry fait l’École des Beaux-Arts en 1890. Comme Henri Joulie, Georges Allingry était élève à l’atelier Pascal à Paris. Mais aussi élève à l’atelier de Joannis Rey. Il devient architecte des Monuments historiques de la Drôme jusqu’en 1914. Georges Allingry a travaillé étroitement avec Joannis Rey, nous les retrouvons notamment sur les projets de la mairie de Saint-Pantaléon-les-Vignes, sur le projet de construction du groupe scolaire et de la mairie à Rousset-les-Vignes, sur le projet d’agrandissement du lycée Loubet aux côtés de Henri Bertsch-Proust.

Il participe au projet d’agrandissement de la chapelle des Dominicains à Marseille, à la restauration d’un couvent à Valence (chercher lequel ?), à la restauration de la façade de l’église Saint-Galmier aux côtés de Joannis Rey.

Auguste Chauffeur est l’architecte voyer de la ville de Valence, il participa à de nombreux projets de restauration et réalisa plusieurs relevés. Il participe notamment à la restauration du clocher-porche néo-roman de l’église Saint-Jean à Valence et souhaite dans la rénovation un clocher au caractère primitif. 

autre exemple : église de Saint-Marcel-les-Valence.

Né le 12 juillet 1876 à Tassin-La-Demi-Lune dans le Rhône, Joseph Bissuel se voue, comme son père Prosper Édouard Bissuel, à l’architecture. Il suit des cours à l’École nationale des Beaux-Arts de Lyon, puis gagne la capitale assez rapidement. Élève à l’atelier préparatoire de Jules Godefroy et Eugène Freynet, puis élève de Jean-Louis Pascal, c’est dans l’atelier de ce dernier qu’il suit son apprentissage aux côtés d’Henri Joulie. Il est diplômé par le gouvernement en 1903.
Ses études terminées, Joseph Bissuel rentre dans la région lyonnaise et parcourt les chantiers sous la conduite de son père, avant de lui succéder. En 1910, il s’associe d’abord avec Joseph Chantre, puis il fait appel à son ami Henri Joulie. Leur collaboration durera plus de 20 ans.